Discours de Michaël Delafosse
Derrière, il y a la fameuse école Diderot, sur laquelle on va réaménager le parvis Cocteau. On a eu, avec l'Assemblée citoyenne, une discussion sur les voitures ventouses.
Il y a les voitures garées sur les trottoirs. Le tarif, c'est 135 euros. Et donc nous, à partir du 1er juillet, M. Cote, parce qu'il suit ça, nous verbaliserons, autant le dire à tout le monde pour ne pas être pris au dépourvu.
On va utiliser le système de vidéosurveillance, comme on le fait au Peyrou, c'est-à-dire stationnement sur le trottoir. Si la caméra le voit, on verbalise, parce que le droit des piétons, des personnes fragiles, des enfants de circuler sur les trottoirs, on doit pouvoir le respecter. La police municipale fait un gros travail, mais on ne peut pas mettre un policier derrière chaque voiture.
Le parking du Lidl a mis une barrière, parce que le parking du Lidl devenait sans doute, enfin certainement, un parking ventouse pour le tramway. Et souvent, les habitants du quartier de ce côté ou de l'autre se retrouvent à chercher, quand ils ont besoin de leur voiture, une place, mais ils ne comprennent pas.
On ne le fera pas là dans les 24 mois, mais on se posera la question de réglementer, peut-être en concertation, le stationnement, parce que l'effet du tramway, c'est formidable, mais il y a des gens qui... Voilà, on a un parking relais qui est vide à 60 % à Garcia Lorca, sur l'ancien site des Trois-Arnales, comme on l'appelait, à Garcia Lorca. Et voilà. Et donc, les gens doivent, quand ils posent leur voiture, utiliser les parkings relais qui sont là, et ne pas incommoder les riverains.
On va vous montrer le site du parc qui, à l'horizon 2025, sera désimperméabilisé et transformé en lieu d'agrément, qui fera l'objet d'une concertation pour savoir comment on l'habite. Et on voit là, on est en train de, petit à petit, racheter tout ça pour opérer la transformation.