
Avec les Vélos Lignes, nous nous sommes attaqués à un problème majeur : les discontinuités cyclables qui obligeaient les cyclistes à passer d’une piste protégée à une route de voitures.
Ces nouvelles voies larges, séparées du trafic motorisé, doivent à terme s’étendre sur 235 km de réseau, connectant centre-ville et périphérie grâce à 11 radiales et 4 rocades. C’est une révolution pour la sécurité, mais aussi pour l’écologie et le pouvoir d’achat : moins de voitures, moins de pollution et moins d’essence.
Nous avons investi massivement avec le plan “Urgence mobilités”. L’objectif est clair : rendre les déplacements doux plus attractifs que la voiture et apaiser l’espace public.
Au cœur du dispositif, l’Anneau vélo devient la colonne vertébrale du réseau.
rendre plus désirables les modes doux dans un espace apaisé est une priorité.