Montpellier fait désormais partie des 25 villes choisies par le ministère de l’Intérieur pour bénéficier du dispositif "Villes de sécurité renforcée". Cette décision de l’État, annoncée par le préfet de l’Hérault, vient reconnaître la réalité des enjeux auxquels nous faisons face et renforcer la stratégie que nous menons depuis 2020 contre le narcotrafic et l’économie souterraine.
Concrètement, cela signifie :
- la poursuite et l’intensification des opérations "place nette" sur les points de deal,
- la fermeture des commerces servant au blanchiment de l’argent de la drogue,
- un travail renforcé entre l’État et la Ville pour cibler les trafiquants.
Mais la sécurité ne peut pas reposer uniquement sur les décisions nationales. C’est pourquoi, dès le début de mon mandat, j’ai choisi de placer la tranquillité publique au cœur de notre action municipale. Nous avons engagé un effort sans précédent pour recruter et former des policiers municipaux : leurs effectifs sont passés de 182 en 2020 à 240 d’ici mi-2026. De nouvelles brigades spécialisées — cynophile, de nuit, des mobilités et des transports — sont venues compléter nos dispositifs, afin d’assurer une présence policière plus forte, de jour comme de nuit, partout dans la ville.
Cet engagement est clair : Montpellier ne cédera pas face aux trafics. Avec le soutien de l’État et grâce à nos propres moyens municipaux, nous continuerons à sécuriser nos quartiers, protéger nos enfants et défendre le droit de chaque habitant à vivre en paix.
