Dès 2012, Michaël Delafosse, alors encore adjoint à l’urbanisme de Madame Hélène Mandroux, Maire de Montpellier, initie la création de « folies ». Il lance ainsi un grand concours pour une architecture révolutionnaire et emblématique de la ville de demain. A l’image des folies du 18°siecle, résidences châteaux qui marquent encore le territoire languedocien, les « folies » du 21 siècle doivent être l’expression d’un art de vivre, de construire.
Tel des totems jalonnant les voix de tramway, ce sont treize constructions qui verront le jour dans les 10 ans.
La décision de lancer les concours a été acté au printemps 2022 et trois projets seront présentés dès l’automne 2022. Certains lieux de leur construction ont été choisis, l’ilot Vernières sous le Corum ou le quartier d’Ovalie par exemple. La plus inattendue sans doute, celle construite sur l’héliport toit du Corum qui n’a servi qu’une seule fois. La plus emblématique, le futur siège d’Altemed à la Mosson.
Ainsi à l’orée des années 2030, « la Folie Divine » et « l’Arbre Blanc », quelque peu orphelins depuis l’année 2014, verront s’agrandir la famille des « folies de Montpellier », signatures d’une architecture audacieuse et flamboyante.
Le Point : Comment Montpellier fait sa révolution urbaine ?