
En 2020, lors de la campagne municipale, j’ai promis d’être un maire qui protège. Dans cet esprit, nous nous sommes engagés à créer une brigade de sécurité du logement social, avec une ambition claire : agir pour la tranquillité résidentielle dans les logements sociaux.
Trois ans plus tard, la promesse est tenue et même dépassée : le dispositif est aujourd’hui opérationnel et compte 43 agents, contre 30 initialement prévus !
L’objectif de cette brigade est de rétablir la tranquillité publique dans le parc social, confrontés aux incivilités, nuisances sonores, occupations abusives et trafics illégaux. Personne ne doit rentrer chez soi la boule au ventre.
Présents 7 jours sur 7, de 16h à 2h du matin, les agents mènent un travail de proximité, entre sécurité et médiation. Au-delà de leur rôle de dissuasion, ils assurent aussi un rôle de lien social, en répondant aux questions des habitants ou encore en signalant aux bailleurs les risques techniques observés. En uniformes noirs et verts, ces professionnels de la sécurité sont souvent d’anciens policiers, gendarmes ou militaires.
La création de cette brigade s’inscrit dans une ligne politique du “zéro impunité”. Les locataires condamnés pour trafic ou responsables d’incivilités graves sont expulsés, parce que le logement social est un droit, mais il impose aussi des devoirs. La brigade intervient alors pour éviter que les situations ne dégénèrent. Ainsi, la priorité est donnée à la protection des habitants qui souhaitent simplement vivre paisiblement.
Comme je le défends : ce n’est pas ceux qui transgressent la règle qui doivent dicter leur loi !
Cette mobilisation illustre notre volonté de protéger les habitants, les plus précaires notamment, face à l’insécurité. Garant de la protection de ses citoyens, la tranquillité résidentielle est une priorité !
Illustration : Image libre de droit