
Au cours de ce mandat, nous avons fait le choix de renforcer les peines alternatives à l’incarcération, en soutenant le développement des travaux d’intérêt général (TIG) et des mesures de réparation pénales. Cette orientation traduit notre volonté de privilégier des sanctions utiles à la société, permettant aux personnes condamnées de participer concrètement à l’entretien des espaces publics, à des actions de solidarité ou à des projets d’intérêt collectif.
Ces dispositifs favorisent à la fois la réinsertion des auteurs d’infractions et la réparation du lien social, en transformant la peine en une action constructive pour la collectivité.
À travers cette démarche, Montpellier affirme son attachement à une justice de proximité, à la fois plus efficace, plus humaine et tournée vers l’intérêt général.